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Nantes : La créatrice Mathilde Cabanas cartonne avec son « bisou » dans le coup

Nantes : La créatrice Mathilde Cabanas cartonne avec son « bisou » dans le coup

Mathilde Cabanas crée des objets du quotidien siglés au désormais célèbre «bisou», un mot «qui redonne tout de suite le sourire».Mère de quatre enfants, la cheffe d’entreprise a plusieurs projets prévus d’ici à la fin de l’année.

Il y a la bise passe-partout, le poutou un peu ringard, le baiser trop sérieux… Mathilde Cabanas, elle, a choisi son camp : celui du « bisou » ! A 36 ans, et malgré la crise sanitaire, la créatrice nantaise n’en finit plus d’en distribuer. A ses quatre enfants, évidemment, mais aussi à ses clients, majoritairement des mamans branchées, qui sont de plus en plus nombreux à travers le monde à s’arracher ses produits siglés.

L’illustratrice, qui vient de sortir un agenda avec Quo Vadis, multiplie les collaborations avec les marques, séduites par son univers « frais et fun ». « Ce que j’aime, c’est créer des objets du quotidien utiles et pour toute la famille, raconte Mathilde Cabanas. Le bisou redonne tout de suite le sourire. » Après Véja, Aigle ou L’Occitane, la Nantaise travaille actuellement avec Champion, Bourjois ou la marque de puériculture Béaba pour des nouveautés prévues d’ici à la fin de l’année.

Papeterie, accessoires, paillasson…

Un succès qui a démarré il y a dix ans à peine alors que Mathilde Cabanas, fraîchement diplômée de son école de graphisme, surprend son entourage en devenant vendeuse à mi-temps chez Bonton, une marque bobo parisienne à l’origine de l’un des premiers concept stores pour enfant. « En parallèle, j’ai commencé à créer des cartons d’invitations pour anniversaire et je leur ai proposé, se rappelle-t-elle. Ça bien marché, alors j’ai continué avec d’autres petits mots. Jusqu’à la carte « Bisou », qui a fait un carton ! »

La jeune femme se prend au jeu sans vraiment « réfléchir au business » . Puis, en 2015, elle décide de rentrer à Nantes et délaisse un peu la papeterie pour imaginer parapluie, chaussons, accessoires pour bébé, et toutes sortes d’articles… avec « toujours du sens » dans ses créations et des prix (de 20 à 100 euros) qui doivent rester dans le « budget cadeau », selon elle. « Notre meilleure vente, c’est le paillasson Bisou, sourit l’entrepreneuse, à la tête aujourd’hui d’une équipe de trois personnes. Je trouve ça chouette car c’est un objet qui “invite” mais dont d’habitude tout le monde se fout ! » Après 5.000 exemplaires vendus, sur Internet ou chez des revendeurs, une deuxième version vient tout juste de sortir.

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Chef d’entreprise et mère de famille, « c’est possible »

Pour les vêtements, fabriqués au Portugal, sa collection répond à la tendance qui veut qu’enfants et parents d’aujourd’hui arborent le même look. Notamment grâce aux couleurs et aux coupes « non genrées » , avec lesquelles elle habille ses trois filles et son garçon, âgés de trois mois à huit ans. Et à ceux qui verraient d’un mauvais œil le fait qu’ils jouent parfois les modèles sur les réseaux sociaux, Mathilde Cabanas (plus de 50.000 abonnés sur Instagram) répond qu’elle est « hyper détente sur le sujet ».

« J’ai toujours fait avec mes enfants, ils sont ma source d’inspiration et mon métier me permet de l’adapter à ma vie de famille, dit-elle. Je ne raconte pas leur vie, je poste juste des images, ce n’est que du figé ! » La trentenaire y voit même plutôt le moyen de faire passer un autre message : « être cheffe d’entreprise et mère de famille à la fois, c’est possible. Si ça permet de rassurer certaines femmes, alors tant mieux ! »

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